Blogue
Plein de couleurs

Intervention
Tanya Régolo

L’engagement scolaire… et si le « poulet » était une approche à privilégier?!

Éducatrice spécialisée depuis 2003, j’ai eu l’occasion de travailler avec diverses clientèles au cours des dernières années, mais principalement en milieu scolaire.  Je dois avouer, par contre, que parmi tous les mandats qui m’ont été confiés à ce jour, j’ai eu un immense coup de coeur pour mon rôle dans un programme de prévention du décrochage scolaire, au primaire!  Rôle que j’endosse encore aujourd’hui -entre autre- avec tout autant de plaisir et de passion qu’à ses débuts, il y a 7 ans! Il me fait donc plaisir, aujourd’hui, d’accepter l’offre de Marie-Claude et de vous faire découvrir cette approche, au cours des prochains mois, par l’intermédiaire de ce blogue. Pour vous mettre en appétit… Comme premier article, j’avais envie de vous faire découvrir la conférence du Dr. Nadia Gagnier, concernant la persévérance scolaire; rencontre que nous avons eu la chance d’avoir le 11 octobre dernier, dans mon milieu de travail.  Bonne lecture! ** Le rôle du parent dans la persévérance scolaire de son enfant: Considérant que le 1/4 des Canadiens travaillent plus de 50 heures par semaine et que 58% se disent « surchargés », la conciliation travail-famille est un enjeu important dans l’engagement scolaire de nos jeunes.  De ce fait, plusieurs parents risquent alors de compenser le manque de temps en diminuant l’encadrement, en ayant des limites plus flexibles (on choisit nos batailles, après tout!) et en devenant plus exigeants envers le personnel de l’école.  Cependant, il est prouvé qu’un parent activement impliqué au sein du cheminement scolaire de son enfant aura pour effet que celui-ci sera lui-même plus engagé, développera davantage sa motivation (intrinsèque et extrinsèque) et son sentiment de compétence (atout essentiel à la motivation scolaire), tout en développant ses capacités d’auto-gestion, sa maîtrise des apprentissages et sa motivation pour la lecture! – Et concrètement, on fait ça comment? 1-  Montrer que l’école est importante pour nous (s’informer, parler de son propre vécu, communiquer avec le milieu scolaire, s’y impliquer, participer aux rencontres…) 2- Offrir une routine et un environnement favorable (organiser la période des devoirs, faire des choix au niveau des activités parascolaires…) 3-  Avoir des repas en famille régulièrement (impact sur l’intégration des valeurs de la famille, sur l’exposition à des processus cognitifs et sur le développement socio-affectif…) 4- Offrir un soutien moral (savoir écouter notre enfant, l’orienter dans sa recherche de solutions…) 5-  Favoriser le développement de l’estime de soi (offrir un soutien inconditionnel, de l’affection, de l’encadrement clair et réaliste, une valorisation et favoriser les  saines amitiés…) 6-  Voir au développement de l’orientation professionnelle Dites-nous comment le parent peut contribuer à prévenir le décrochage scolaire? Au plaisir! Tanya Régolo [/av_textblock] [av_team_member name=’Tania Régolo’ job=’Collaboratrice’ src= » attachment= » attachment_size= » image_width= » description=’ D‘aussi loin que je me souvienne, j’avais l‘éducation spécialisée gravée sur le coeur! À l’époque, je ne savais pas que c‘était ça et je riais bien quand l’orienteur me sortait des listes de métiers tels que « soeur » ou « curé »! Mon parcours vers mon métier actuel n‘a pas été une belle ligne droite; session d’accueil au Cégep avant de faire un DEC en sciences humaines, profil indivdu… toujours hésitante sur mon choix de carrière après ce DEC, je prends une sabbatique d‘un an et travaille alors comme vendeuse. Pendant ce temps, je fais donc mes demandes dans divers programmes et décide finalement d’aller en T.E.S. !!! Diplômée depuis 2003, j‘ai cumulé des expériences avec la clientèle TSA, DI et je travaille dans les écoles aussi, depuis. Ce milieu m’a permis de découvrir plusieurs clientèles et rôles et je ne changerais de place ou de métier pour rien au monde! Passionnée par mon travail, j‘ai aussi fait un certificat en intervention psychosociale! Nouvellement maman, j’ai maintenant une nouvelle passion, en plus de mon grand intérêt pour les voyages, la danse, la musique et la lecture! Au plaisir de vous partager une partie de ma réalité dans le monde scolaire!’ font_color= » custom_title= » custom_content= » admin_preview_bg= »] [av_social_share title=’Partager cet article’ style= » buttons= » share_facebook= » share_twitter= » share_pinterest= » share_gplus= » share_reddit= » share_linkedin= » share_tumblr= » share_vk= » share_mail= » av-desktop-hide= » av-medium-hide= » av-small-hide= » av-mini-hide= »][/av_social_share] [av_comments_list av-desktop-hide= » av-medium-hide= » av-small-hide= » av-mini-hide= »]

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Chronique
SaBine Gémis

Ensemble, c’est tout… de suite !

Étiez-vous à Joliette, vous ? Les 8 et 9 juin derniers a eu lieu le 5e Colloque T.E.S. au Cégep de Joliette. Organisé de main de maître par une équipe d’enseignants du Cégep, auxquels se joignent des éducateurs et professionnels de différents secteurs essentiellement de Lanaudière et de Montréal (Institut en Santé Mentale, Centres Jeunesse, Commissions scolaires, Tables de concertation régionale des organismes communautaires, C.S.S.S…), ce colloque a pour vocation de proposer, aux deux ans, du contenu riche et varié pour nous, éducateurs spécialisés, avec un thème central rassembleur. Celui de l’édition 2015 était « Les T.E.S. d’hier à demain, de l’unicité à l’interdisciplinarité » et celui de cette année, « Gardons la flamme ». Donc, étiez-vous au Colloque de Joliette, vous ? Si oui, vous avez sans doute vibré avec Sonia Lupien, chercheure, professeure et entre autres, directrice du Centre d’études sur le stress humain à Montréal ! Sa conférence d’ouverture était si drôle et allumée, si interactive, que le stress, ses différentes formes, sa fonction première, notre cerveau et les hormones associées, ainsi que les différentes façons de faire tomber ce stress quand il devient nocif n’ont plus de secret pour nous… ou presque ! Passionnant, pour nous qui avons un métier à la fois merveilleux et si intense, et pour les personnes avec qui nous travaillons, soumises elles aussi à des stress importants et variés. Si vous étiez à Joliette avec nous , vous avez aussi pris part à la nouveauté de l’édition, un séminaire en petits groupes de travail, dont le fil conducteur était le thème du Colloque, « Gardons la flamme ». Avez-vous trouvé comme moi que ces partages, soutenus par des interventions en impact (bonjour Danie Beaulieu !), étaient vraiment soutenants, énergisants, et qu’ils avaient créé des liens entre nous. éducateurs de différents milieux, de différentes pratiques mais avec une flamme commune à (re)oxygéner ? J’y ai aussi découvert avec plaisir que nous nous oxygénions tous et toutes de façons parfois différentes, souvent proches, et toujours teintées des valeurs communes de notre profession. Alors, Joliette… auriez-vous aimé y être ? Vous auriez pu assister aux ateliers, données par des professionnels du milieu, en éducation spécialisée ou même en dehors. Qu’en auriez-vous pensé des contenus ? En ayant eu la chance d’offrir moi-même, avec ma collègue Mélissa Martel, trois ateliers (deux sur un outil de la pédagogie positive, le mind mapping, et un sur le regard de Pygmalion), je me dois de me fier aux échanges que j’ai eus avec plusieurs collègues présents lors des pauses pour  dire que les contenus étaient souvent riches et documentés, avec des partages d’expérience et des outils à rapporter dans nos pratiques respectives. Auriez-vous ri, en fin de Colloque, avec Martin Larocque ? « Cela te tentes-tu ? » nous a-t-il demandé, avant de faire rire de nombreuses personnes avec ces anecdotes illustrant les multiples façons que nous pouvons développer, dans notre vie privée et professionnelle, pour ne pas faire les choses. Je garde le meilleur pour la fin. Comme tous les collègues présents, j’ai fait la rencontre de Sylvain Ratel, le président de l’Association des Éducateurs et des Éducatrices Spécialisés du Québec. Notre association. Une belle conférence d’ouverture, juste avant celle de Sonia Lupien, et la belle découverte d’un homme qui bouge, qui fonce, qui peut déranger, mais qui, avec son équipe, croit foncièrement en la valeur intrinsèque de notre profession. Personnellement, je suis membre depuis 2 ans, et je mesure mieux maintenant grâce à ce partage tout le travail fait par l’Association pour se bâtir un cadre de référence, une visibilité, pour amener notre profession à occuper de manière plus reconnue du grand public et des instances gouvernementales la place essentielle que dans les faits, elle occupe déjà et que lui reconnaissent ses partenaires de terrain. Un simple exemple, tiré du milieu scolaire que je connais un peu : à la fin de l’année scolaire, les messages sur Facebook de soutien aux enseignants qui ont fait du beau travail, sont fatigués et ont bien besoin de leurs vacances se sont multipliés : petites vidéos amusantes, images ou dessins humoristiques, témoignages même… Avez-vous vu passer beaucoup de ces messages concernant les éducateurs spécialisés présents dans les écoles, en soutien essentiel aux élèves ? Il y en a eu, notamment sur notre belle page, mais sur le Facebook général ? Or, une école qui fonctionne sans le soutien de ses éducateurs, est-ce encore la norme au Québec ? Sylvain Ratel nous a chargé d’une mission, ce 8 juin dernier : de devenir dès maintenant des « éducateurs spécialisés », et non plus des « T.E.S., des techniciens en éducation spécialisée » ! Comprenez-vous la nuance ? Lorsque vous allez à l’hôpital, êtes-vous pris en charge par une « technicienne en soins infirmiers » ou par une « infirmière » ? Chez le dentiste, est-ce la « technicienne en hygiène dentaire » ou l’ »hygiéniste dentaire » qui fait votre nettoyage de dents ? Vous avez compris : la fierté que nous ressentons pour notre profession, sa spécificité, sa défense, sa reconnaissance, peuvent se symboliser par ce titre : « Éducateur, Éducatrice Spécialisé/e ». Signons de cette façon. Témoignons de nos actions, de nos bons coups. Soyons visibles ! La constitution d’un ordre professionnel étant la prochaine étape de l’Association, nos avis à ce sujet sont importants : manifestons-nous. J’ose croire, pour une première conclusion sous forme de clin d’oeil, que dans le titre de la 6e édition du Colloque de Joliette, en 2019, le « T.E.S. » sera unanimement compris par tous comme « Département de techniques d’éducation spécialisée » du Cégep de Joliette ! Et pour une dernière conclusion sous forme de coup de chapeau, lors du Colloque, chaque collègue questionné, chaque enseignant du Cégep rencontré… connaissait, utilisait, n’avait que de bons mots et même référait la page Facebook des Trésors en éducation spécialisée de Marie-Claude ! La visibilité et la fierté de notre profession te doit donc beaucoup, Marie-Claude : de leur part à tous, de notre part à tous, un beau MERCI ! Bon été à toutes et tous ! SaBine Gémis T.E.S….. noooon ! Éducatrice spécialisée positive (= Juillet 2017

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Découvertes livres
Marie-Claude Armstrong

Coup de cœur :Ton fantastique cerveau élastique

Vous est-il déjà arrivé de manquer d’idée pour expliquer à un enfant comment il apprend? Qu’il est normal de faire des erreurs? Oh, moi, durant ma pratique, SOUVENT! J’ai utilisé une feuille de papier et un crayon et j’expliquais à l’élève avec le meilleur de mes connaissances. J’ai longtemps essayé de créer l’outil parfait, mais aujourd’hui, il existe!!!! Les Éditions Midi trente publie Ton fantastique cerveau élastique, un album de vulgarisation scientifique haut en couleur qui invite les enfants de 6 ans et plus à un grand voyage au cœur d’un des organes les plus mystérieux de leur corps : leur cerveau ! Le livre en version originale, Your fantastic elastic brain, est paru en décembre 2010. Il a gagné plusieurs prix dont Mom’s Choice Gold Award, The Moonbeam Gold Award for Non-Fiction Picture Book, The Pewter Gold Ink Award for Distinguished Printing, The Parent’s Choice Silver Award for Interior Design, Children’s/Young Adult, The Nautilus Silver Award for Children’s Non-Fiction, The IBPA Benjamin Franklin Silver Winner for Interior Design, Children’s/Young Adult et Next Generation Indie Award Finalist for Children’s/Juvenile Nonfiction. Il s’est vendu à plus de 250 000 exemplaires. Grâce aux explications simples et aux images rigolotes contenues dans l’ouvrage, les jeunes lecteurs apprendront de nouveaux mots aussi cool que amygdale et hippocampe et ils découvriront des stratégies astucieuses pour renforcer leur cerveau… tout en s’amusant ! Selon certaines études, parler du fonctionnement cérébral aux enfants et leur mentionner que le cerveau peut se transformer et s’améliorer à condition de faire des efforts et d’utiliser les bonnes stratégies peut les aider à apprendre. (Schrader et al., 2004) J’ai dévoré ce magnifique livre coloré. Le vocabulaire est accessible. L’enfant y découvrira les différentes utilités de son cerveau. Cet album permet d’aborder les particularités du cerveau : les façons d’apprendre, d’aborder les erreurs et les nouveaux apprentissages. Parfois, le jeune devient anxieux face à une nouveauté, une difficulté, une erreur. Il apprendra que de faire des erreurs est l’une des meilleures manières pour son cerveau d’apprendre et de se développer. La fois suivante, son cerveau va se rappeler qu’il a surmonté sa peur… et ce n’était plus un problème pour lui! L’intervenant pourra dédramatiser la situation en réutilisant le vocabulaire. Il y a plusieurs façons d’utiliser cet outil. Comment l’utiliseriez-vous?  Ton fantastique cerveau élastique m’a inspiré des outils d’intervention. À venir! Ce magnifique livre est disponible chez votre libraire ou directement sur le site de Midi Trente. ISBN : 9782923827896 17,95 $ Je vous le recommande! Marie-Claude 😉 * N’hésitez pas à consulter le site Les trésors en éducation spécialisée afin de trouver réponse à vos questions.  [/av_textblock] [av_social_share title=’Partager cet article’ style= » buttons= » share_facebook= » share_twitter= » share_pinterest= » share_gplus= » share_reddit= » share_linkedin= » share_tumblr= » share_vk= » share_mail= »][/av_social_share] [av_comments_list av-desktop-hide= » av-medium-hide= » av-small-hide= » av-mini-hide= »]

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Sabine en couleurs

Le petit morceau de carton

Il était une fois un petit morceau de carton, tout petit, avec de belles couleurs d’un côté et tout blanc de l’autre. Oublié sur un coin de la table, il s’agrippait de son mieux pour y rester et faire son travail de petit morceau de carton, bien polyvalent en fait : il savait qu’il pouvait servir à caler une porte, stabiliser une table bancale, accueillir une mini-liste d’épicerie griffonnée à la hâte ou encore un tout petit mot d’amour… « je t’M« … Il était déjà tombé de la table quelques fois : le vent du changement de saison, à l’ouverture de la porte patio, ou encore le chat et son besoin de somnoler sur quelque chose, avaient eu raison de son opiniâtreté… mais à chaque fois, sa persévérance à remplir sa tâche l’avait fait remarquer, même à terre, et il était retourné à son poste, fidèle. Sa tâche… parfois, il se sentait un peu perdu, tout seul… surtout lorsqu’il voyait d’autres papiers cartonnés et qu’il se comparait, un peu… beaucoup… trop ? Le beau calendrier coloré sur le frigo, consulté par toute la famille… le dessin du petit dernier, encadré… la carte de géographie, nouvellement arrivée sur le mur de la cuisine, sujet de toutes les conversations du souper… Quelle était sa place, à notre petit morceau de carton ? La connaissait-il, au fait ? Sa juste place, celle qui lui donnait des papillons dans le ventre quand il accomplissait son travail, celle qui le faisait se sentir important, connecté, utile… Et vous, avez-vous deviné ce que notre petit morceau de carton coloré est en fait ? Et bien, c’est un morceau de casse-tête ! Oui, un des 1000 morceaux du casse-tête autour duquel la famille se réunit chaque jour au retour de l’école et du travail, pour passer un petit temps ensemble avant la frénésie des devoirs et du souper. Notre petit morceau, isolé dans le coin de la table, sert à marquer le coin gauche du casse-tête, et est le premier de ses collègues, rassemblés en tas non loin de lui, à réaliser le soleil qui illumine le paysage représenté. Il a enfin trouvé sa juste place, notre petit bout de casse-tête cartonné. L’avait-il oubliée ? Il fait partie d’un tout, il est absolument indispensable à la réussite du projet et il procure par sa présence et celle de ses collègues un moment de détente et de retrouvailles propice à la libération des émotions de chacun et concourant à la solidité de la famille. Toute une tâche, n’est-ce pas, qui n’a rien à voir avec celle de la carte de géographie, plus grande, plus chère… et une tâche qui est pourtant tout aussi utile. Cette histoire m’a été inspirée par Danie Beaulieu et ses mille et une utilisations en impact des pièces de casse-tête, ainsi que par sa vidéo de la juste place. Je suis fan, et grande utilisatrice d’objets du quotidien pour illustrer un message, ou faire avancer une réflexion. L’impact est un de mes outils préférés en pédagogie positive.  Je tenais à vous partager cette histoire pour souligner à ma façon la première Semaine des Éducateurs et Éducatrices Spécialisés, du 3 au 7 avril 2017, mise sur pied par l’AEESQ, l’Association des Éducateurs et Éducatrices Spécialisés du Québec. Connaissons-nous notre juste place, en tant qu’éducateurs ? Avons-nous tendance à nous comparer aux professionnels, aux enseignants, et ces comparaisons profitent-elles à notre estime de nous, à notre sentiment de compétence ? Nous sommes riches de notre proximité, nous sommes riches de notre diversité. Nos clientèles sont notre priorité, c’est certain… mais prendre soin de nous comme intervenants, pour aller plus loin, c’est aussi important. Bonne semaine, les estimés et estimées collègues ! Bien fière de faire partie de cette profession… et ce, les 51 autres semaines de l’année aussi ! [/av_textblock] [av_team_member name=’Sabine Gémis’ job=’Collaboratrice’ src= » attachment= » attachment_size= » image_width= » description=’Éducatrice spécialisée de formation, psychomotricienne, goûtant à l’approche Snoezelen, Sabine a travaillé des années en toute petite enfance et puis, elle a poursuivi en milieu scolaire, au régulier et au primaire, en soutien aux apprentissages des élèves à besoins particuliers et aussi au secondaire, en adaptation scolaire. Tombée dans la créativité depuis qu’elle est toute petite, elle utilise une approche toute en couleurs, adaptée à ce que je décode chez chacun. « Je suis heureuse et fière de partager le même métier que Marie-Claude, et de pouvoir me joindre à sa belle équipe pour échanger avec vous tous et toutes ! Au plaiZir (= »‘ font_color= » custom_title= » custom_content= » admin_preview_bg= »]

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Clientèles
Marie-Claude Armstrong

Les incontournables pour une sensibilisation à l’autisme réussie

Pourquoi faut-il faire de la sensibilisation auprès de la population? Le taux de prévalence de l’autisme varierait entre 90 et 120 individus sur 10 000, soit environ 1% de la population. C’est une personne sur 100 qui présente un TSA. Ce taux augmente chaque année. Les personnes ayant TSA font partie intégrante de la société.

Afin de bien sensibiliser la société, il est utile d’être préparé et avoir de bons outils!

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Sensibilisation
Marie-Claude Armstrong

Bienvenue en Hollande

On me demande souvent de décrire ce que représente l’éducation d’un enfant vivant avec une incapacité, de manière à ce que les gens qui n’ont pas vécu cette expérience puissent la comprendre et imaginer ce qu’elle représente.

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Emploi
Marie-Claude Armstrong

Passer une entrevue pour un emploi en éducation spécialisée

Se préparer pour une entrevue, ce n’est pas compliqué, mais angoissant. C’est surtout possible! Ce n’est pas facile d’arriver devant un parfait inconnu et de vendre sa salade. Quand nous passons l’entrevue, cela permet à l’employeur de mieux nous connaître. Il voit si nous avons de la facilité à communiquer et à nous exprimer. Il nous fait parler de choses et d’autres pour mieux connaître nos goûts et nos aptitudes, et nous offrir de meilleures conditions de travail. Donc, l’entrevue n’a pas seulement ses mauvais côtés ! Mais il faut se préparer.

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